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Il existe plusieurs catégories de scanners 3D, chacune adaptée à des usages spécifiques. Voici un aperçu des principales solutions disponibles sur le marché.
Le scanner 3D portable est la solution idéale pour les professionnels en déplacement ou pour les objets difficiles à transporter. Compact, léger et rapide, il s’adapte à tous les environnements, y compris les sites industriels, les musées, ou les cabinets médicaux. ➜ Découvrir les scanners 3D portables
Le scanner 3D de bureau est conçu pour une utilisation sédentaire. Il offre un excellent compromis entre précision, ergonomie et coût. C’est le choix parfait pour les designers, ingénieurs, bijoutiers ou techniciens ayant besoin d’une numérisation fine en environnement maîtrisé. ➜ Voir les scanners 3D de bureau
Le scanner 3D laser est réputé pour sa précision exceptionnelle et sa capacité à scanner de grands volumes. Il est souvent utilisé dans les domaines de l’architecture, de l’industrie lourde ou pour le relevé de pièces techniques complexes. ➜ Explorer les scanners 3D laser
Parmi les marques disponibles, Creality se distingue par des solutions accessibles, performantes et faciles à prendre en main. Elle propose plusieurs modèles de scanner 3D, parfaits pour les professionnels comme pour les passionnés. ➜ En savoir plus sur les scanners 3D Creality
La polyvalence du scanner 3D en fait un outil central dans de nombreux secteurs.
Dans l’industrie, il permet de réaliser des contrôles qualité, d’ajuster des pièces existantes ou d’accélérer le développement de nouveaux produits. Dans la santé, on l’utilise pour la conception de prothèses sur mesure, la numérisation d’organes ou la simulation chirurgicale. Les architectes et les professionnels du bâtiment s’en servent pour modéliser des espaces complexes ou conserver une trace numérique d’un site existant. Les artistes, quant à eux, apprécient la capacité à reproduire et retravailler des formes réelles à des fins créatives ou de restauration.
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Le scanner 3D ne cesse d’évoluer. Les progrès en intelligence artificielle permettent une reconstruction de plus en plus rapide et précise. L’intégration dans les smartphones et tablettes démocratise l’accès à cette technologie. L’impression 3D, les jumeaux numériques, le contrôle non destructif et la maintenance prédictive font désormais partie d’un même écosystème digital, dans lequel le scan 3D joue un rôle central.
Les entreprises qui adoptent dès maintenant cette technologie prennent une longueur d’avance sur la concurrence, en gagnant en efficacité, en flexibilité et en capacité d’innovation.
Le scanner 3D est bien plus qu’un outil de numérisation : c’est une passerelle entre le monde physique et le monde numérique. Il transforme des objets réels en données exploitables pour la conception, la fabrication, la simulation ou la conservation. Accessible, polyvalent et en constante évolution, il s’adresse à un large public : ingénieurs, designers, architectes, artisans, professionnels de santé ou encore artistes.
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Cette technologie d’impression 3D est largement utilisée pour le prototypage industriel. C’est grâce à sa rapidité d’exécution que la SLA est choisie en priorité pour cela, en comparaison avec d’autres types d’impression 3D.
En obtenant rapidement un prototype, les avancées et les tests sur le modèle peuvent se faire plus vite. Les versions se succèdent jusqu’à l’obtention de la version finale qui sera utilisée par la suite.
Ce type d’application ne nécessite pas une imprimante industrielle. Les versions professionnelles de bureau conviennent tout à fait pour cela. Elles sont d’ailleurs moins onéreuses. Ce sont des appareils qui procèdent à l’impression 3D à l’envers, c’est-à-dire de bas en haut. Pour ce type d’emploi, il n’y a pas besoin de post-traitement. La vision globale et le fonctionnement de l’objet usiné suffisent pour pouvoir procéder aux ajustements nécessaires.
Par ailleurs, comme les matériaux employés peuvent comporter des différences en terme de propriété (souplesse, transparence, couleurs, etc.). Il est possible de réaliser des prototypes fonctionnels. Cette utilisation sera largement valorisée dans le secteur médical et celui de la joaillerie. En effet, à moindre coût, il devient possible de réaliser des moules sur-mesure. Du fait de la haute résolution, il n’y a pas vraiment de limite en terme de détails. Ainsi, l’impression par SLA peut répondre à toute sorte de demandes de clients pour l’usinage de modèles de bijoux avec un niveau élevé de détails. Du côté du secteur médical et notamment dentaire, cela permet de réaliser rapidement, aisément et à coûts réduits des bridges par exemple parfaitement adaptés à la mâchoire du patient. En effet, pour l’impression 3D, la machine récupère les coordonnées directement à partir des imageries médicales.
Néanmoins, pour obtenir un résultat plus solide, il sera nécessaire de réaliser un post-traitement. Après la production, il faudra placer le résultat obtenu dans une chambre à UV. En effet, les matériaux utilisés sont sensibles à la durée d’exposition aux UV. Ainsi, en prolongeant le processus, la photopolymérisation va se poursuivre jusqu’à stabiliser les chaînes de molécules. Le résultat obtenu après le post-traitement sera alors beaucoup plus solide et résistant dans le temps.
De plus, l’impression 3D par SLA offre une grande liberté de conception. La création d’un résultat transparent est tout à fait envisageable. De même, des prototypes contenant des canaux pourront être employés pour ceux à quoi ils étaient destinés, car les canaux seront vidés facilement. C’est la seule technique d’impression 3D qui permet cela. Ainsi, l’impression 3D permet de réaliser aussi bien des objets uniques, le plus souvent sur-mesure, en petites quantités, que des objets fonctionnels destinés à être usinés à grandes quantités pour la grande consommation.
Le principal atout de l’impression 3D par SLA est sa précision. En effet, le laser UV utilisé permet d’obtenir un niveau de détail l’ordre de 140 microns. De plus, l’épaisseur de chaque strate imprimée a un impact sur l’aspect de la surface. Avec la SLA, l’épaisseur se situe entre 25 et 100 microns, ce qui est extrêmement mince. Le rendu est donc très lisse et sans aspérité. Cet aspect visuel est renforcé par le fait que la photopolymérisation se poursuit lors de l’impression, ainsi les chaînes de molécules se forment aussi bien sur l’axe des X que celui des Y.
La rapidité d’exécution est également un des atouts de l’impression par SLA. Dans l’ingénierie, le temps est précieux. Un petit détail peut changer énormément sur le résultat final. Ainsi, en procédant à des versions successives dans de faibles délais, les ingénieurs gagnent du temps et donc de l’argent. De plus, il est possible non seulement d’imprimer des exemplaires rapidement, mais il est en plus possible de les assembler entre eux sans perdre de temps.
Le niveau de reproductibilité est également à mettre en avant pour cette technologie. Cela permet notamment de répondre à des exigences de précision pour des utilisations dentaires. Cela concerne également la haute joaillerie avec la production d’exemplaires uniques et particulièrement complexe. Les résultats obtenus en 3D sont parfaitement fidèles à la version numérique. Cela est dû à la nature même de cette technique. En effet, c’est la lumière et non la chaleur qui provoque cette réaction chimique. Malgré l’utilisation de plastique, il n’y a donc aucun risque de rétractation ou de dilatation. Associé à un degré d’exactitude extrême, la reproductibilité est au rendez-vous impression après impression.