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Le scanner 3D de bureau séduit un large public professionnel. Les ingénieurs l’utilisent pour concevoir, analyser ou reproduire des pièces techniques avec précision. Les designers l’apprécient pour sa capacité à capturer des formes complexes qu’ils peuvent ensuite retravailler dans un logiciel de modélisation. En joaillerie, il permet de scanner des bijoux avec un rendu fidèle des détails. Dans le secteur dentaire ou médical, il est utilisé pour créer des modèles anatomiques personnalisés.
Ce type de scanner est également prisé par les établissements d’enseignement supérieur, les laboratoires de recherche et les centres de formation souhaitant initier les étudiants aux technologies de fabrication numérique avec du matériel fiable et pédagogique.
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La particularité d’un scanner 3D de bureau, c’est d’offrir une numérisation de très haute qualité dans un espace contrôlé. Il est souvent équipé d’un plateau rotatif automatisé, ce qui permet de capturer un objet sous tous ses angles sans manipulation. Certains modèles proposent également des systèmes multi-capteurs pour améliorer la précision et la rapidité.
Le traitement des données est généralement optimisé : l’objet est scanné en quelques minutes, puis le logiciel intégré génère automatiquement le maillage, applique un nettoyage des surfaces, et vous livre un fichier 3D exploitable dans vos logiciels de CAO ou d’impression 3D.
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Les scanners 3D de bureau sont conçus pour les objets de taille modérée, allant de quelques centimètres à une vingtaine de centimètres de hauteur. Ils sont donc parfaits pour :
Dans tous les cas, le rendu final est détaillé, avec une géométrie propre, et une excellente base pour des travaux de modélisation ou de fabrication.
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Avant de choisir un scanner 3D de bureau, il est important de bien définir vos attentes en termes de performance et de compatibilité.
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L’un des avantages majeurs d’un scanner 3D de bureau, c’est sa capacité à fournir des résultats constants. Une fois installé, il devient un outil de travail quotidien pour gagner en productivité. Il permet une répétabilité parfaite, ce qui est essentiel dans les processus de contrôle qualité ou de prototypage. Sa robustesse et sa précision en font un compagnon fiable pour vos projets 3D les plus exigeants.
Grâce à une interface simple et à une installation rapide, même les utilisateurs peu expérimentés peuvent l’utiliser efficacement. C’est un vrai plus pour les équipes pluridisciplinaires ou les structures qui souhaitent diffuser les usages de la 3D à plus grande échelle.
Le prix d’un scanner 3D de bureau dépend des performances et des options disponibles. Les modèles d’entrée de gamme adaptés aux makers ou aux établissements scolaires commencent autour de 1 000 à 1 500 €. Pour un usage professionnel intensif, les tarifs évoluent entre 3 000 € et 10 000 € selon la précision, la vitesse et les fonctionnalités logicielles.
Des solutions de financement ou de leasing existent pour les entreprises souhaitant lisser leur investissement. Il est aussi possible de combiner plusieurs scanners au sein d’un atelier (portable, bureau, laser) pour couvrir tous les besoins.
Le scanner 3D de bureau est un outil indispensable pour tous ceux qui cherchent à allier précision, stabilité et efficacité dans leurs travaux de numérisation. Il s’adresse autant aux bureaux d’étude qu’aux créateurs, aux artisans ou aux écoles. Grâce à sa capacité à restituer fidèlement les objets, il accélère les projets, réduit les erreurs et permet une intégration fluide dans les workflows de CAO ou d’impression.
Que ce soit pour modéliser un objet, contrôler une fabrication, créer un prototype ou enrichir une base de données, le scanner 3D de bureau apporte une réponse professionnelle, accessible et durable.
Cette technologie d’impression 3D est largement utilisée pour le prototypage industriel. C’est grâce à sa rapidité d’exécution que la SLA est choisie en priorité pour cela, en comparaison avec d’autres types d’impression 3D.
En obtenant rapidement un prototype, les avancées et les tests sur le modèle peuvent se faire plus vite. Les versions se succèdent jusqu’à l’obtention de la version finale qui sera utilisée par la suite.
Ce type d’application ne nécessite pas une imprimante industrielle. Les versions professionnelles de bureau conviennent tout à fait pour cela. Elles sont d’ailleurs moins onéreuses. Ce sont des appareils qui procèdent à l’impression 3D à l’envers, c’est-à-dire de bas en haut. Pour ce type d’emploi, il n’y a pas besoin de post-traitement. La vision globale et le fonctionnement de l’objet usiné suffisent pour pouvoir procéder aux ajustements nécessaires.
Par ailleurs, comme les matériaux employés peuvent comporter des différences en terme de propriété (souplesse, transparence, couleurs, etc.). Il est possible de réaliser des prototypes fonctionnels. Cette utilisation sera largement valorisée dans le secteur médical et celui de la joaillerie. En effet, à moindre coût, il devient possible de réaliser des moules sur-mesure. Du fait de la haute résolution, il n’y a pas vraiment de limite en terme de détails. Ainsi, l’impression par SLA peut répondre à toute sorte de demandes de clients pour l’usinage de modèles de bijoux avec un niveau élevé de détails. Du côté du secteur médical et notamment dentaire, cela permet de réaliser rapidement, aisément et à coûts réduits des bridges par exemple parfaitement adaptés à la mâchoire du patient. En effet, pour l’impression 3D, la machine récupère les coordonnées directement à partir des imageries médicales.
Néanmoins, pour obtenir un résultat plus solide, il sera nécessaire de réaliser un post-traitement. Après la production, il faudra placer le résultat obtenu dans une chambre à UV. En effet, les matériaux utilisés sont sensibles à la durée d’exposition aux UV. Ainsi, en prolongeant le processus, la photopolymérisation va se poursuivre jusqu’à stabiliser les chaînes de molécules. Le résultat obtenu après le post-traitement sera alors beaucoup plus solide et résistant dans le temps.
De plus, l’impression 3D par SLA offre une grande liberté de conception. La création d’un résultat transparent est tout à fait envisageable. De même, des prototypes contenant des canaux pourront être employés pour ceux à quoi ils étaient destinés, car les canaux seront vidés facilement. C’est la seule technique d’impression 3D qui permet cela. Ainsi, l’impression 3D permet de réaliser aussi bien des objets uniques, le plus souvent sur-mesure, en petites quantités, que des objets fonctionnels destinés à être usinés à grandes quantités pour la grande consommation.
Le principal atout de l’impression 3D par SLA est sa précision. En effet, le laser UV utilisé permet d’obtenir un niveau de détail l’ordre de 140 microns. De plus, l’épaisseur de chaque strate imprimée a un impact sur l’aspect de la surface. Avec la SLA, l’épaisseur se situe entre 25 et 100 microns, ce qui est extrêmement mince. Le rendu est donc très lisse et sans aspérité. Cet aspect visuel est renforcé par le fait que la photopolymérisation se poursuit lors de l’impression, ainsi les chaînes de molécules se forment aussi bien sur l’axe des X que celui des Y.
La rapidité d’exécution est également un des atouts de l’impression par SLA. Dans l’ingénierie, le temps est précieux. Un petit détail peut changer énormément sur le résultat final. Ainsi, en procédant à des versions successives dans de faibles délais, les ingénieurs gagnent du temps et donc de l’argent. De plus, il est possible non seulement d’imprimer des exemplaires rapidement, mais il est en plus possible de les assembler entre eux sans perdre de temps.
Le niveau de reproductibilité est également à mettre en avant pour cette technologie. Cela permet notamment de répondre à des exigences de précision pour des utilisations dentaires. Cela concerne également la haute joaillerie avec la production d’exemplaires uniques et particulièrement complexe. Les résultats obtenus en 3D sont parfaitement fidèles à la version numérique. Cela est dû à la nature même de cette technique. En effet, c’est la lumière et non la chaleur qui provoque cette réaction chimique. Malgré l’utilisation de plastique, il n’y a donc aucun risque de rétractation ou de dilatation. Associé à un degré d’exactitude extrême, la reproductibilité est au rendez-vous impression après impression.